jeudi 14 février 2008

Les héros ne meurent jamais -suite

Il y a un paquet de temps, avec Jean-C. Denis, et plus récemment avec Mezzomo, on avait vu combien un auteur peut avoir du mal à se séparer de son personnage. J'espère que vous suivez un peu, pasque sinon ça sert à rien.

Ici, c'est un peu différent.

Pour Lewis, il s'agit de BD qu'il faisait en parallèle. Dans son avant-dernier Lapinot, sorti en dernier (c'est comme les derniers albums des Beatles), Lapinot joue le rôle de Spirou. On retrouve un rappel en fin d'album suivant, celui où Lapinot meurt, sur le kiosque à journaux.

Au dos de l'album, "qui réjouira les amateurs de mort", Trondheim reprend sa faucheuse, dessinée dans sa jeunesse pour la patte de mouche philosophique On est tous mort.

Boulet (page de Lewis au Zénith) n'a pas hésité à mettre son Raghnarok dans son premier Donjon.

Le redis-je que j'aime vraiment bien Boulet, et que son blog est un régal ? Ouaf, non, pas besoin.

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