Chez Francisque montre des tranches de vie au comptoir. C'est le coté sombre de la force, les bas instincts de nos honteuses pensées. C'est très drôle, avec le coté franchouillard de Superdupont, poussé à l'extrême (droite). La mise en page, avec la petite pensée - lieu commun en ouverture est très habile.
Pascal Brutal caricature aussi l'Homme. Sa force, et plutôt, ce qu'il croit être sa force.
On a tous un peu de Francisque et de Pascal en nous. Et du coup, nous revoilà un peu plus humble.
J'ai acheté Tooloose en occaz à Angoulême. J'aime tous les auteurs de ce bouquin de commande (pour fêter l'ouverture de la deuxième ligne de tram à Toulouse). Mais c'est le risque avec de tels bouquins. L'historiette de Rochette est un peu chiante (des dialogues entre la fusée et la base) et la fin nulle (ils déploient le drapreau de la ville dans le vide intersidéral). Celle de Blutch et Felder est assez drôle, et c'est dommage, Blutch dessine sans âme. Veyron dessine assez finement des situations, mais c'est tellement tiré, alongé, qu'on craque. Baru revient ! J'adorre Baru ! Mais l'histoire ne suit pas, pour cause de Toulouse, on se téléporte à AZF. Pouy semble être un romancier, ben, scénariste n'est pas on truc.
Encore emprunté à la médiathèque, le deuxième volet des secrets de Pellejero. J'ai acheté le premier tome, et il m'a vraiment déçu. J'aime toujours autant Pellejero, mais Giroud me déçoit de jour en jour (que je me demande s'il m'a déjà enjoué). C'est coups de théâtre sur coups de théâtre (trois coups ?). Et on s'en fout, aucun personnage ne nous a ouvert son cœur.
Mais avec Sillage, on tombe très bas. Il me semble que j'avais aimé le précédent pourtant. On est dans la très mauvaise caricature. Buchet, pour qu'on comprenne bien, représente les peuples de manière uniforme (même tronche, mêmes vêtements). Navïs se déguise avec un masque, et trompe tout le monde (comme dans les missions impossibles de M. Phelps). Et la parenté avec les champs d'élevage de Matrix décrédibilise le pauvre Morvan.
Mais le pire est à venir. J'aime Lepage, tout Lepage ! Et puis c'est un breton, comme son pote Rossi, qu'il remercie de ses conseils dans les premières pages... Il aurait du lui conseiller de ne pas la faire, cette BD à l'eau de rose, aux bons sentiments. Beaucoup d'attitudes sont exagérées, tout le monde semble avoir pris des euphorisants. Pourtant son dessin est si juste habituellement !! Mais le scénario est nullissime. Sans effet, sans imagination. On suit 3 gamines, issues de 3 milieux, depuis leur naissance. Et ça n'apporte rien, sauf de voir qu'elles sont différentes. Tout ça aurait pu être suggéré, pour rentrer dans le vif de l'histoire... qui n'est pas encore commencée en fin d'album.
Encore un beau raté de Futuropolis !
Mais avec Sillage, on tombe très bas. Il me semble que j'avais aimé le précédent pourtant. On est dans la très mauvaise caricature. Buchet, pour qu'on comprenne bien, représente les peuples de manière uniforme (même tronche, mêmes vêtements). Navïs se déguise avec un masque, et trompe tout le monde (comme dans les missions impossibles de M. Phelps). Et la parenté avec les champs d'élevage de Matrix décrédibilise le pauvre Morvan.
Mais le pire est à venir. J'aime Lepage, tout Lepage ! Et puis c'est un breton, comme son pote Rossi, qu'il remercie de ses conseils dans les premières pages... Il aurait du lui conseiller de ne pas la faire, cette BD à l'eau de rose, aux bons sentiments. Beaucoup d'attitudes sont exagérées, tout le monde semble avoir pris des euphorisants. Pourtant son dessin est si juste habituellement !! Mais le scénario est nullissime. Sans effet, sans imagination. On suit 3 gamines, issues de 3 milieux, depuis leur naissance. Et ça n'apporte rien, sauf de voir qu'elles sont différentes. Tout ça aurait pu être suggéré, pour rentrer dans le vif de l'histoire... qui n'est pas encore commencée en fin d'album.
Encore un beau raté de Futuropolis !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire