C'est l'heure des bilans.
S'il y a une grande déception dans ces 10 dernières années, c'est bien d'Yslaire qu'il s'agit. Il prend la place laissée par Bilal, pour les 10 années précédentes (rendez-vous compte que ce snobinard expose maintenant chez Agnès B.).
Il nous laissait en 96 avec un 4eme tome de Sambre flamboyant et romantique, sanglant et désespéré. On le retrouve 7 ans plus tard avec une suite nullissime. Je m'y étais préparé avec ses XXème ciel. Dessins à l'ordinateur, couleurs horribles, personnages sans relief, proportions à coté de la plaque... Et des copier/coller impardonnables.
Bidouille et Violette, c'était le bon temps !
S'il y a une grande déception dans ces 10 dernières années, c'est bien d'Yslaire qu'il s'agit. Il prend la place laissée par Bilal, pour les 10 années précédentes (rendez-vous compte que ce snobinard expose maintenant chez Agnès B.).
Il nous laissait en 96 avec un 4eme tome de Sambre flamboyant et romantique, sanglant et désespéré. On le retrouve 7 ans plus tard avec une suite nullissime. Je m'y étais préparé avec ses XXème ciel. Dessins à l'ordinateur, couleurs horribles, personnages sans relief, proportions à coté de la plaque... Et des copier/coller impardonnables.
Bidouille et Violette, c'était le bon temps !
Au tout début du 3ème album de Ludo, cette vision fugace de ces deux éternels amoureux réchauffe l'hiver,
et semble déplaire au passant honnête, jettant un regard oblique, et jaloux.
Des quasiment-mêmes, (Mathy ne dessine que Castar alors que Bailly s'occupe de Ludo) on peut lire le drame familial en vase (c'est le cas de le dire) clos : La saison des anguilles, dans la collection prestige de Dargaud, malheureusement peu étoffée. Une BD y est lue, c'est le #5 de Bidouille et Violette (BD annoncée, jamais parue) où l'héroïne vient chercher un peu d'eau de rose au milieu de cette eau boueuse de tous les jours...
Et Zep toujours...
Et Zep toujours...
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