Grâce aux autobiographies parues chez l'asso, on peut tenter de comprendre un peu la vie des auteurs, et la vie d'une BD.
Le journal d'un album de Dupuy et Berberian raconte la génèse de Les femmes et les enfants d'abord. Et pour une fois, Dupuy est à coté de Berberian. On comprend un peu mieux cet auteur bi-céphale.
Approximativement raconte la vie de La mouche au Japon, la vie de l'assoce et de Nawak, la vie de Lewis et Brigitte...
Ces deux bouquins s'alimentent et se complètent.
Le journal d'un album de Dupuy et Berberian raconte la génèse de Les femmes et les enfants d'abord. Et pour une fois, Dupuy est à coté de Berberian. On comprend un peu mieux cet auteur bi-céphale.
Approximativement raconte la vie de La mouche au Japon, la vie de l'assoce et de Nawak, la vie de Lewis et Brigitte...
Ces deux bouquins s'alimentent et se complètent.
Le livret de phamille de Menu vient se rajouter à ces deux-ci. Et on se sent proche de cette bande. En apparence bien sûr.
Mais, surtout avec le bouquin de Menu, il faut se méfier de l'aspect très subjectif du sujet... Ah, le poète maudit, l'artiste drogué (en l'occurence : alcoolique)... Ce livret sonne très faux (comme le Journal de Neaud, mais ça, on n'a pas le droit de le dire). Mais je viens de lire une entrevue entre lui et La lunette (#4 de 2004), où il admet que son personnage a dérivé, qu'il n'est pas tout a fait lui... Vais-je me réconcilier avec lui, et déterrer l'assoce de l'âbîmê où je l'ai jeté ??
Le style autobiographique en BD est devenu synonyme de qualité. A cause de David B, et de sa vie à coté de son frère épileptique, à cause de Marjane de Persepolis... C'est devenu le cheval (blême) de bataille de Menu, de l'Association. Et on ne peut dire du mal de L'ascension du Haut-mal, ou des retranscriptions des rêves du même B. (sans aucun intérêt, même graphique) ou de Pourquoi j'ai tué Pierre, parce que ça touche à des sujets douloureux. Pourtant...
Mais, surtout avec le bouquin de Menu, il faut se méfier de l'aspect très subjectif du sujet... Ah, le poète maudit, l'artiste drogué (en l'occurence : alcoolique)... Ce livret sonne très faux (comme le Journal de Neaud, mais ça, on n'a pas le droit de le dire). Mais je viens de lire une entrevue entre lui et La lunette (#4 de 2004), où il admet que son personnage a dérivé, qu'il n'est pas tout a fait lui... Vais-je me réconcilier avec lui, et déterrer l'assoce de l'âbîmê où je l'ai jeté ??
Le style autobiographique en BD est devenu synonyme de qualité. A cause de David B, et de sa vie à coté de son frère épileptique, à cause de Marjane de Persepolis... C'est devenu le cheval (blême) de bataille de Menu, de l'Association. Et on ne peut dire du mal de L'ascension du Haut-mal, ou des retranscriptions des rêves du même B. (sans aucun intérêt, même graphique) ou de Pourquoi j'ai tué Pierre, parce que ça touche à des sujets douloureux. Pourtant...
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