Certains
dessinateurs se sentent mal à l'aise face à la peinture, véritablement
élevé au rang d'art. La BD est bien le 9ème art, mais juste après la
télé... ce n'est donc pas une si bonne place. Elle est décriée dans les
médias, réduite à une occupation pour gamins ou attardés. Pour parler
d'un mauvais film, on entend souvent dire que c'est comme une BD... La
BD n'est pas un vrai livre... C'est absurde, et ceux qui disent ça n'ont
bien entendu jamais lu de BD, ou alors des BD pour enfants, ou des
mauvaises BD. Toujours est-il que les grands auteurs de BD quittent ce
milieu pour obtenir une vrai reconnaissance, des médias toujours.
Hergé, à la fin de sa vie était amateur de Warhol & co, il aurait voulu peindre, mais il en a été dissuadé, par son ami galeriste notamment. Bilal et Druillet se sont orientés vers le cinéma, vers la peinture... Brétécher expose ses portraits, Will ses femmes et ses paysages.
On trouve quelques références à la peinture dans les BD (je n'en ai noté aucune lors de mes lectures, ça va être dur de retrouver tout ça...). Dans le #3 de La vache de De Moor et Desberg, le dauphin se civilise et loue une petite chambre, sans doute à Arles. Le radeau de la méduse de Géricault est très souvent représenté (ici dans Pravda de Pellaert). Je me souviens d'avoir vu les pirates (Barbe Rouge & co), après une rencontre avec Astérix, dans un tel radeau.
Hergé, à la fin de sa vie était amateur de Warhol & co, il aurait voulu peindre, mais il en a été dissuadé, par son ami galeriste notamment. Bilal et Druillet se sont orientés vers le cinéma, vers la peinture... Brétécher expose ses portraits, Will ses femmes et ses paysages.
On trouve quelques références à la peinture dans les BD (je n'en ai noté aucune lors de mes lectures, ça va être dur de retrouver tout ça...). Dans le #3 de La vache de De Moor et Desberg, le dauphin se civilise et loue une petite chambre, sans doute à Arles. Le radeau de la méduse de Géricault est très souvent représenté (ici dans Pravda de Pellaert). Je me souviens d'avoir vu les pirates (Barbe Rouge & co), après une rencontre avec Astérix, dans un tel radeau.
Dans le #1 du Vent dans les saules,
album assez contemplatif, Plessix fait voyager ses petits animaux à
travers de jolis paysages. On reconnaitra Monet en train de peindre dans
un champs et page suivante, Le déjeuner sur l'herbe de Manet... (en préambule, l'auteur remercie Monet, Van Gogh et Klimt).
L'origine du monde de Courbet est bien caché... Je ne l'avais pas trouvé.
L'angelus de Millet a été beaucoup représenté (à commencer en peinture, notamment par Dali).
A la fin d'Astérix chez les belges, on assite à un banquet de Bruegel.
Et puis bien d'autres trésors cachés...
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