mardi 2 septembre 2008

Le 421 à Moulinsart

La boucherie Sanzot apparait quand on découvre Moulinsart. Quand on s'y installe un peu. Les gens appellent le château de Moulinsart, croyant commander une bonne grosse bidoche bien dégoulinante du joli sang d'un bel animal qui a perdu le goût de gambader dans l'herbe verte. Un animal mort quoi. De la viande.
Mais c'est aussi le capitaine Haddock qui se trompe, et arrive chez Sanzot, espérant l'opératrice du service international pour Tapiocapolis...

Alors ici, on reconnait Edika, Efix et Chric dans l'unique album de Lieutenant Kate, Van Den Boogaard et Schippers et leur fatiguant Léon la terreur (j'ai vraiment du mal avec les BD flamandes) et Zanon et Vanderhaeghe et leur trop figé Harry Dickson.

Certains auteurs ont imaginé la devanture du magasin : Adamov et Cothias dans Les eaux de Mortelune, Cerqueira et Masbou dans L'ombre de l'échafau, Mazan dans le cochon tout est bon, et Zep dans Isabelle, une des Filles électriques.

Sanzot a été un peu transformé par De Brab, avec son excellente série Margot et Oscar Pluche, rebaptisée Sac à puces par Dupuis (avec Falzar et Zidrou). Bodart le rend irritable dans Nicotine Goudron, et Janry encore nous refait le coup de la devanture, dans le 4ème Petit Spirou.

Des camionnettes Sanzot sillonnent Vers la ligne claire de Benoit et Coline Maillard de Carrère et Cothias. Les ventes par correspondance marchent bien, quand le téléphone marche bien.
Dans Pop, Rock et Colégram, Solé s'amuse avec Patty Smith.

Les images en grand

Edika
 
Adamov, Cerqueira et Mazan

Bodart, Janry, De Brab et Zep

Benoit et Carrère
De Brab
Zep

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire