Lecture #17-2024

Macola et Dabitch : Le passeur de lagunes (2023 - Futuropolis)

Venise est coupé du monde, on ne peut en sortir ou y entrer... Au milieu de traffic d'êtres humains et de drogue, on suit un jeune homme à la recherche de son père... qu'il découvre dans la parole des autres.

C'est une très bonne surprise de lecture.

Auclin : ACABécédaire (2023 - The hoochie Coochie)

Un petit imagier plutôt joli.

Vila : Confortless (2023 - Presque lune)

Je me suis un peu paumé au milieu de tous ces personnages, et totalement perdu l'intérêt pour leurs petits tracas. C'est dommage, le dessin est plutôt intéressant.

Crisse : Anya (2023 - La gouttière)

Toute petite aventure jeunesse toute mignonne mais avec des couleurs un peu horribles.

Coll et Von Kelen : Cook me tender (2024 - Blouson noir)

Une illusse ou une page de bd pour chaque recette avec sa playlist rock, presentée par Sofie. Je l'ai acheté sachant que je n'en ferai aucune (pas très cuisine moi). C'est plutôt sympa quand même.

Tollec : La fille de Blackbird Leys (2024 - Carnets de sel)

Des personnages qui se cherchent. Une histoire d'amour qui se trouve. Le dessin est un chouia faible mais le récit se tient bien.

Prudhomme et cie : Pigments (2024 - Futuropolis)

La bande de Rupestre retourne dans une grotte, cette fois pour y dessiner, et s'observer dessinant. On esperait des réponses à leurs questions... le dessin : pourquoi ? Comment ?

Ils s'y sont amusés, ils le disent mais on ne le ressent pas, étranger à leurs jeux (récits trop courts sans doute)... Ce que j'ai vraiment aimé,  paradoxalement, c'est le resultat final, et les photos des artistes à l'oeuvre.

Ça reste tout de même un petit plaisir de retrouver quelques auteurs adorés.

Durieux, Bollée et Klein : L'éternité béante (2024 - Futuropolis)

Klein cause avec son idole. Malgré les images imagées de Durieux, tout ça reste un peu abscons... L'avantage du bouquin (j'écoute souvent Klein à la radio), c'est qu'on peut le poser et le reprendre (à la radio, je suis hyper attentif un bon quart d'heure et au générique de fin je réalise que je n'écoute plus depuis une demi-heure).