Très sexuelle, très déplacée, elle remplissait sa fonction d'émoustillage de lecteurs masculins, potentiels acheteurs de ces merdes de super héros. En plus, elle dégradait et l'image des femmes et la place de la BD (va falloir qu'on rame, qu'on s'excuse pendant des années pour passer à autre chose). Bon, elle a fait le buzz, mais il fallait être aveugle pour ne découvrir Manara qu'après 30 ans de branlette.
Cho l'a défendu... en faisant de sa couv putassière un classique, un truc normal... Manara l'en a remercié en retour récemment lors de sa venue en Italie :
C'est pas pour cafter, mais d'après Sfar, Manara est l'un des 3 plus grands dessinateurs vivant.
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